La laïcité
Monique Pauzé
| Saison 1 - 2013-14 | | Les Militantes / Les MilitantsPrésidente du Syndicat de Champlain (CSQ) jusqu’en 2013, Monique Pauzé a milité en faveur d’une implication sociopolitique de son syndicat. On lui doit, notamment, diverses mesures de conscientisation, ce qui a contribué à former des «têtes bien faites au lieu de têtes bien pleines».
Bon visionnement !
Compléments à l'émission
L’appréciation de la profession
Le décrochage des profs
Les écoles privées
L'union fait la force ?
La classe moyenne
Galerie photos
Militante passionnée, pédagogue acharnée
(Texte de narration dans la vidéo)
Monique Pauzé, montréalaise depuis toujours, a commencé sa carrière professionnelle comme enseignante à l’élémentaire, une «vocation» qui lui allait comme un gant. Presqu’en même temps, elle a été nommée déléguée syndicale (CEQ) et a assumé cette fonction pendant 20 ans.
Après avoir accepté un poste syndical en action sociopolitique, elle a gravi les échelons et, en 2003, a été élue à la présidence du Syndicat de Champlain, un des plus importants de la CSQ, en remplacement de Réjean Parent devenu président de la centrale.
Cette militante qui a fréquenté Michel Chartrand, s’est faite porte-parole d’une vision sociale du syndicalisme et a joué un rôle certain dans l’évolution de sa centrale. Elle est notamment fière de sa participation au mouvement des «écoles vertes», un mouvement mondial basé sur l’environnement, le pacifisme et la solidarité.
Malgré sa retraite prise récemment en 2013, elle continue de militer à la CSQ et est commissaire aux États généraux du Conseil de la souveraineté, structure nationale qui l’amène à parcourir le Québec.