Deux coups pendables
Régine Laurent
| Saison 2 - 2014-15 | | Les Militantes / Les MilitantsDepuis juin 2009, Régine Laurent, une infirmière qui n’aime pas la langue de bois, est présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec, la FIQ. L’entrevue qu’elle a accordée à Ferrisson méritait vraiment le détour.
Bon visionnement !
Compléments à l'émission
«Avoir du fun»
Des militants difficiles à arrêter
Les «Carrés rouges»
Une relève plus exigeante
Le prix à payer
La FIQ
«Si j’avais une baguette magique !»
Le jeu des alliances
Galerie photos
Femme, mère, infirmière, syndicaliste et visionnaire
(Texte de narration dans la vidéo)
Depuis juin 2009, Régine Laurent, une infirmière qui n’aime pas la langue de bois, est présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec, la FIQ.
Diplômée du Cégep du Vieux-Montréal en soins infirmiers, elle est embauchée à l’hôpital Santa Cabrini en 1980 et, au fil du temps, devient une militante syndicale convaincue.
Sa volonté de combattre l’injustice l’amène au comité exécutif de la FIIQ de 1991 à 2001, puis à la présidence de l’Alliance interprofessionnelle de Montréal (AIM), une constituante de la FIQ.
Son goût pour l’analyse socio-politique se peaufine en particulier au CISO (Centre international de solidarité ouvrière) où elle est nommée présidente de l’organisme.
On reconnaît à cette femme articulée une vision sociale et syndicale qui en font une interlocutrice de choix, une personne convaincante devant qui aucun groupe ne peut rester de glace.
Cela parce qu’étant «femme, mère et infirmière», elle ne peut s’empêcher de s’incarner dans toutes les luttes auxquelles son militantisme l’entraîne.