Normand Caron
| Saison 2 - 2014-15 | | Les Militantes / Les MilitantsVidéos
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Il y a consensus sur le fait que le Fonds de Solidarité FTQ est né grâce à Louis Laberge et à Jean-Guy Frenette. Tout comme il y a unanimité sur le fait que Fernand Daoust et Claude Blanchet y ont été essentiels. Mais, dans la distribution des médailles, il ne faudrait surtout pas oublier celui qui a tissé l’incroyable masse logistique sans laquelle rien n’aurait été possible, Normand Caron.
Compléments à l'émission
La parabole des tailleurs de pierres
Bilan
Vaincre la résistance de l’appareil
La dette: dégonfler la baloune paranoïaque
Le MÉDAC: démocratisation de la connaissance financière
Un outil de paix au lieu d’une «bonne guerre»
André Leclerc
Cinq ans au Sénégal
Bilan social de l’entreprise
Candidat pour le PQ en 1973
Galerie photos
Quand la gestion peut être créative et les orientations, progressistes
(Texte de narration dans la vidéo)
Tour-à-tour prof de socio à l’UQAM, émule d’André Laurin dans le mouvement des ACEF, patron malheureux chez Québec Presse et D.G. de la Ligue des droits et libertés, il se retrouve à la FTQ comme responsable de la formation.
Puis il devient l’homme de la souscription et de la formation des intervenants sur le terrain, au tout nouveau Fonds de Solidarité. Pendant dix ans, les deux pieds bien ancrés sur le plancher des vaches, il alimentera la «patente à Laberge» et contribuera ainsi à en faire le succès que l’on connaît.
Quand il passera le flambeau, il s’en ira oeuvrer en développement économique au Sénégal.
Enfin, depuis son retour, on le retrouve au Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MEDAC) où il peut s’adonner à son dada préféré, la formation financière et économique, plaisir qu’il prodigue à satiété.